Dernier volet d’une recherche épidémiologique initiée voilà douze ans autour de l’incinérateur d’ordures ménagères de Besançon, la mesure du taux de dioxine dans le sang de riverains atteints de lymphome malin non hodgkinien (1) corrobore l’idée d’une relation entre l’exposition à cette substance toxique environnementale et la survenue de ce type de cancer.
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